La plus grande partie de la salle, dégagée de tout meuble afin de laisser la place à tous les invités de danser, seuls ou avec un partenaire. La musique sort d'un gramophone puissant, au son relativement clair, posé dans un coin de la salle.

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NOTE IMPORTANTE : Deux autres sujets ont été créés pour l'event afin d'alléger un peu la lecture des RP. La salle de réception est donc divisée en trois sujets : le balcon où les annonces importantes comme celle-ci seront faites, le buffet et la piste de danse. Les personnages peuvent s'y promener librement d'un sujet à l'autre comme s'ils se déplaçaient dans la salle. Le suivi des trois sujets est donc important afin de se tenir au courant de ce qu'il se passe autour d'eux. (Exemple : si une bagarre massive commence sur la piste de danse, les gens présents au buffet pourront la voir, bien évidemment.) Des résumés se feront régulièrement au balcon, via les interventions de Johann ou de l'Ombre ! Si vous avez des questions, n'hésitez pas à venir me voir ! Bon event à tous !

PS : Voici un petit schéma (fait à l'arrache, certes) pour vous aider à comprendre l'organisation de la salle ! Cliquez ici !

Navigation rapide :
- Le Balcon.
- Le Buffet.
- La Piste de Danse.

Erwan, d’un naturel méfiant, s’était bien demandé pourquoi il avait reçu une telle invitation. S’il devait y avoir une rébellion contre Jeremiah, il devait être l’une des dernières personnes qu’on demandait comme alliée, lui qui toujours si prompt à retourner sa veste pour sauver sa peau. Oui, il avait toujours fui les responsabilités. Mais après tout, cela pouvait être intéressant et amusant. Il s’ennuyait tellement dans ce laboratoire sombre. Après tout, il n’osait plus vraiment bouger depuis qu’il avait croisé Mr Adkins dans la morgue. Il eut un frisson de dégoût et se décida d’y aller malgré tout. Un petit d’animation ne lui ferait pas de mal. Il pourrait peut-être faire des rencontres intéressantes. Mais il lui fallait un costume. Il pouvait toujours aller fouiller quelques armoires ou bien en demander un à Jeremiah. Il préféra la solution de facilité et passa commande auprès d’un Gardien. La livraison fut rapide et il eut sa tenue habillée pour la soirée. Avec un peu de chances, il pourrait peut-être taper dans l’œil d’une jolie amnésique, sait-on jamais. La moyenne d’âge de ce Manoir était plutôt jeune, mais il était toujours confiant sur ses compétences de beau parleur. Le soir venu, il se prépara avec soin et entra dans la salle de réception.

Là, il regarda tout le petit monde s’agitait autour de lui. Il était plutôt en avance et s’avança d’emblée au centre de la pièce, au milieu de la piste de danse. Il écouta attentivement ce que l’homme au balcon avait à leur dire. Il ne s’était même pas présenté mais il était donc ce fameux J. B. qui les avait convoqués. Mais passons. Son regard passa sur la foule. Il reconnut Harry au milieu des gens, vers le buffet, une rousse qui s’ennuyait et qui était fixée étrangement par une autre femme. Il préféra alors ne pas s’approcher de ces deux-là, dans la crainte que la brunette au regard bizarre ne devienne agressive. Il aperçut alors une deuxième rousse au pied des escaliers et qui avait l’air bien seule. Erwan sourit, partit rapidement au buffet lui prendre une part de gâteau et vint lui apporter, avec un grand sourire charmeur. Malgré ses 42 ans, il était convaincu qu’il avait encore pas mal de charme. Quant à la jeune femme… Rooh, elle devait avoir au moins 20 ans. Du moins c’est ce qu’il essayait de se convaincre mais qu’importe. Il se ferait sûrement remballer. Il lui tendit la part de gâteau.

- Bonsoir, je m’appelle Erwan Rockwood, j’ai 36 ans et je suis un Scientifique.

Voilà. Pas trop vieux pour elle sûrement, et faire croire qu’on a un nom. Il fronça les sourcils et prit son air le plus sérieux.

- Rassurez-vous, je déteste mon frère.

David avait eu un tendre sourire quand Harry lui proposa d’être son invité au bal. Quel bal d’ailleurs ? Peu importe. Il l’aurait suivi n’importe où. Aurait accepté n’importe quoi venant du vétérinaire. David s’était empressé de demander quelque chose de classieux et de noble à Jeremiah. Être Scientifique comportait quelques avantages tout de même et il n’allait certainement pas passer à côté. Le soir venu, il se vêtit donc richement, presque de façon noble. Après tout, c’était ainsi que son père leur avait appris à faire. Toujours paraître le plus aisé possible afin de faire bonne figure. Il avait même ressorti la canne au pommeau argenté que lui avait offert Harry il y a quelques temps. Même si celui-ci avait paru gêné que le cadeau lui ait plu. Sur le moment, David avait été plutôt surpris de cette réaction mais qu’importe. Il se sentait propre et bien habillé pour la soirée. Il sourit à son chéri qui avait décidé pour une tenue plus simple et c’était tout à son honneur. Cela lui donnait un côté presque innocent que David trouvait parfaitement adorable. Mais qu’est-ce qui n’était pas parfaitement adorable chez Harry ? Mais passons, il aurait pu lui trouver toutes les qualités du monde rien en qu’en le regardant.

Il arriva donc au bras de son homme dans la salle de bal. Il avait décidé de se moquer totalement du regard des autres pour cette soirée-là. Il voulait être parfait pour son parfait chéri afin qu’il passe une parfaite soirée. Il n’écouta même pas l’organisateur, préférant rester greffé au bras de son vétérinaire qui lui donna une coupe de champagne. Il le remercia doucement avant de l’écouter avec un sourire tout en buvant une gorgée de la boisson. Tous ces gens… Il avait quand même l’impression qu’Harry était la seule personne ayant vraiment de l’importance dans cette audience mais qu’importe. Il eut un air surpris quand son chéri l’embrassa sans prévenir mais il se laissa bien évidemment faire et lui rendit même son baiser avec douceur et amour. Il regarda son homme avec tendresse tandis que celui-ci venait de l’inviter à danser. David eut un air heureux et amusé et finit son verre avant de prendre de nouveau le bras de son amour, un grand sourire fier sur ses lèvres, fier d’être aux côtés d’un tel homme. David commença alors à danser avec son aimé, n’ayant aucun mal à suivre les pas de Harry. Son père lui avait bien évidemment appris la valse mais passons. Ce n’était pas le moment de penser à ce genre de personnes. Harry Downcry était le seul homme qui méritait son attention à ce moment-là. Il le regardait dans les yeux, le dévorant du regard, l’amour ne faisait que briller dans l’azur de ses iris, tandis qu’il continuait à danser dans ses bras.

- Il… Il faudrait sûrement que je dise quelque chose. Mais je ne sais pas quoi dire. Je n’ai rien à dire. Tu me laisses sans voix.

Il lui fit un grand sourire amoureux, ayant l’impression que le temps filait beaucoup trop vite avec un tel homme.

La salle était éclairée. Tout était d'un raffinement si rare. Un tel contact avec le luxe manquait cruellement dans un manoir pourtant aussi grand et appartenant à un Lord. Qui aurait cru que cette lettre n'était pas une blague ? Certainement pas Jonathan qui s'avançait, lentement vers la piste de danse, son regard figé sur le maître de cérémonie. Il les invitait à s'amuser, à prendre le contre-coup des horreurs subies à cause de Rockwood. Un rictus s'empara de son visage. Il n'était pas facile de décrire avec précision ce que pouvait bien penser son esprit. Entre vide spectrale et anarchie démentiel, il n'était pas évident de concevoir  qu'il puisse encore tenir debout. Pourtant, le voici. Le pasteur récrié de toute part qui, pour l'occasion avait laissé lapine et soutane dans sa chambre, pour se revêtir d'un costume du plus bel effet. Il était tellement rare de le voir sans son étiquette de religieux sous le menton que cela devait sans doute semer la surprise dans l'audience. La tête haute, Jonathan s'approcha d'une femme inconnu à la robe rapiécée et lui offrait son bras pour une danse, faisant jouer son nouvel air de séducteur. Les voir terminer en pâmoison devant lui après avoir danser avec elles, c'était quelque chose de nouveaux qu'il appréciait tout particulièrement.

S'il paraissait que les femmes apprécient davantage les "bad boys" que les gentils garçons, cela semblait de plus en plus évident. Mais quel importance. Chaque nouveau visage que Jonathan invitait sur la piste de danse lui était juste semblable à celui d'avant. Il n'y avait rien de vraiment excitant à tout cela. C'était juste une histoire de se rassurer, de passer un peu de bon temps et pourquoi pas véritablement rencontrer quelqu'un ?

Il n'avait pris qu'un mince verre d'alcool entre deux danses que déjà l'environnement lui donnait l'impression de tourner tout autour de lui. Le pasteur était déjà fatigué en permanence, mais cela n'arrangea en rien son cas. Une nouvelle amnésique vint lui demander une danse sous l'impulsion de son amie, une de ses précédentes partenaires de danse. Jonathan haussa les épaules et sourit tout en saisissant la taille de la demoiselle. Danser, jusqu'à ce que le jour se lève et que tout revienne à la normale. Danser jusqu'à ce que le temps ne compte plus. En tournant la tête au delà d'une valse, il voyait David et Harry, plus heureux que jamais. Jonathan était heureux pour son frère, plus qu'il ne saurait jamais le dire. Mais les voir ainsi le déprimait davantage. Quel chance il avait...quand pour sa part, il tenait une énième poupée de chiffon dans ses bras. Un poupée aux yeux certes bien éclairées vers son visage, mais qui ne faisait en rien battre son cœur comme ceux du couple pouvaient battre. Mais ce n'était pas de sa faute, à cette petite, aussi continua-t-il de lui sourire et de danser tout autant.

Cela faisait combien de temps à présent qu'Amy s'était volontairement éloigné de l'homme de sa vie, qui n'était plus que l'ombre de celui-ci ? Elle n'aurait su le dire, mais chaque seconde depuis semblait être une éternité. Toutes les fibres de son corps lui hurlaient d'y retourner. De ne pas le laisser seul, qu'il pourrait commetre une erreur. Puis revenant sur ses pensées, elle se demandait quelle erreur ? Surtout, quelle erreur qu'elle, elle n'aurait pas fait ? Triste et dépitée, elle ne pouvait obtenir aucun récomfort de la part de son meilleur ami qui était en train de refaire sa vie dans un nouveau bonheur complet. Il ne lui restait plus qu'une seule personne, son oncle. Ce fut lui qui reçut la lettre et qui l'annonça à Amy. Cette dernière aimait beaucoup les bals autrefois. Serait-ce toujours le cas ? D'un soupir, elle remarqua qu'elle ne pouvait pas changer sa tenue spectrale. Le peu de joie qu'elle avait pu en retirer s'évanouit soudainement. Quel intérêt d'aller à un bal si l'on si trouvait aussi fade que dans la vie de tous les jours ? Si ce n'était son oncle qui avait insisté, elle n'y serait très certainement jamais allée. Pourtant, ce fut une splendide Amy qui apparut à travers le mur du balcon, croisant du même coup Johann qui partait après son discours.

Curieuse de cet homme qui semblait avoir beaucoup d'importance, elle ne tarda pas à s'en désintéresser pour se concentrer sur la salle de réception. Il y avait plus de mondes qu'elle n'aurait pensé. Avec une profonde tristesse remplie de mélancolie, ses yeux bleus regardèrent David et Harry, merveilleux beaux dans leurs costumes et leurs sourires. Ils semblaient être les Princes de cette soirée. Tout le monde qui ne dansait pas ne pouvait que les regarder. Elle voyait aussi Jonathan, qui avait changé plus que les mots ne sauraient le décrire. Cela la surprit tellement qu'elle n'eut pas le temps de voir Felix arriver dans la pièce à son tour. Mais quand elle le vit, son coeur se resserra brutalement. En tout cas, si celui-ci pouvait encore se serrer. Partir. Il lui prit soudainement l'envie de partir, de fuir sans prendre la peine de faire quoique ce soit. Elle ne voulait pas être confrontée à lui, pas encore. Même si cela faisait un moment maintenant que leur altercation s'était déroulé. La jeune fantôme essayait de regarder ailleurs les autres couples qui dansaient.

Mais rien n'y faisait, toujours et encore son corps glacé lui donnait envie de mourir une nouvelle fois. Juste le serrer dans ses bras et l'enlacer jusqu'à la fin des temps. Revoir son sourire heureux, comme au temps du début de sa mort. Elle avait encore le souvenir de son horrible regard, tandis qu'il la prenait violemment sans amour ni attention. Felix lui manquait...Amy sans lui avait froid, autant à l'intérieur qu'à l'extérieur, comme si l'hiver durait toute l'année. Ne pas le regarder...mais elle ne le pouvait pas. A chaque fois ses yeux bleus revenaient tenter de capturer les siens, comme un appel à l'aide venant du coeur.

Erwan était tout fier de sa petite parlotte. La jeune fille avait plutôt l’air surprise au début, et c’était compréhensible, mais elle ne lui avait pas (encore) envoyé son gâteau à la figure. Elle se prénommait Juliet, joli prénom. Il continua de lui sourire en l’écoutant attentivement. Car oui, il était un homme qui écoutait les femmes parler. Même quand elles se révélaient être de vrais pipelettes comme ladite Juliet. Finalement, il n’aurait peut-être pas dû se présenter sous le nom de Rockwood. Elle avait l’air tellement enthousiaste d’avoir un interlocuteur qui prétendait connaître Jeremiah. Peut-être allait-elle craché sur lui dans son dos ? Et s’il en faisait son rapport au Lord afin de s’attirer ses bonnes grâces et de pouvoir continuer à mettre les pieds sur la table d’opération pendant un moment ? Mmh mais non. Il n’était pas comme cela. Il se qualifiait lui-même de galant. Il l’écouta donc religieusement et son sourire s’agrandit quand elle le remercia pour le gâteau. Il fallait établir un plan d’attaque maintenant. Lui proposer d’aller danser peut-être ? Certains avaient déjà commencé à le faire. Bon, il n’était pas un danseur étoile, il le reconnaissait, mais il se débrouillait suffisamment pour ne pas écraser les pieds de sa partenaire.

Il fut alors tiré de sa rêverie quand il sentit son bras être saisi. Il ouvrit légèrement la bouche, de surprise, et tourna la tête vers celle qui le tenait. Miss Hodge. Cela devait être une blague. Elle congédia Juliet qui s’excusa sous les yeux désemparés et déçus d’Erwan. Il la regarda partir avec un air triste avant qu’un mot ne vienne finalement faire tilt quand Helena le lâcha. Mari ? Pardon ? Il n’avait pas l’habitude que quelqu’un d’autre que lui mente, c’était peut-être pour cela. Mais même. MARI ? Agacé et blessé dans son orgueil qu’on ait fait fuir sa proie, il eut un petit sourire ironique en regardant la perturbatrice et la laissant faire son petit commentaire désobligeant qu’elle s’était sûrement sentie obligée de faire. Son sourire devint plus pincé encore quand il remarqua que Helena se forçait de ne pas rire. Il laissa quelques secondes glisser tout cherchant sa répartie, essayant de rester le plus digne et fier possible. Il releva alors le menton et son sourire s’agrandit.

- On est jalouse ? Après tout, chère épouse, tu es… vieillissante, il est normal que mon regard vienne se porter sur de jeunes femmes. Jolies qui plus est.

Il eut un sourire un coin, arrogant et fier. Il allait sûrement s’en prendre mais tant pis. Cela prouverait qu’il aurait gagné ce bras de fer. Pour être honnête (ce qui n’était pas vraiment son fort), il ne trouvait pas Helena repoussante, elle avait juste… son charme à elle. Mais Juliet était quand même plus mignonne. Et il devait remporter cette énième bataille verbale contre la Gardienne.

Que de vulgaritée…

Juliette eu une petite moue boudeuse devant le doigt levé de son frère, avant d’éclater de rire. Bah, elle s’en fichait bien. Il avait toujours été mal élevé, pire qu’un paysan… Et elle avait décidé de ne pas le laisser gacher sa soirée. Il avait déjà gaché bien plus que ça… Elle finit joyeusement son… Oh, elle n’avait pas compté le nombre de verre qu’elle avait bu, mais ce n’était pas bien grave, elle n’avait pas bu tant que ça.

Juste assez pour être détendue… Elle continuait d’observer les deux brunettes à coté d’elle intéragir entre elles sans vraiment les écouter. Elle s’entendraient surement très bien tout les deux, entre sauvage...Juliette s’en voulait, parfois, d’être aussi prompte à juger les gens mais après tout, c’était leur problème, pas le sien. Et puis, elle avait payé assez cher le droit d’être désagréable avec les gens, sans aucune raison même, si ça lui chantait.

Mais elle fut assez vite distraite par la désagréable sensation d’être observée… Mais était toute prête à pardonner celle qui la dévigeasait. Remarque, là tout de suite elle lui donnerait n’importe quoi juste pour...Ses yeux, oui, disons ses yeux. Juliette retint un rire, elle n’arrivait même pas à se convaincre elle même que c’était ses yeux qu’elle avait regardé. Mais eh, qui pourrait la blammer ?

Juliette eu un petit sourire en coin, tout en se mordant la joue. Son ennui commençait doucement à revenir mais la jeune femme l’observant lui avait donné une idée. Enfin, peut être devrait elle s’abstenir de l’aborder… Mh, non. Juliette finissait par reconnaitre les regards qu’on lui laissait, et celui là n’était pas anondin…

Souriante, elle reposa son verre sur le comptoir avant de se relever, retirant par réflexe sur ses gants… Et sur le haut de sa robe pour remettre son décolleté en place. Elle s’approcha doucement mais surement de la jeune femme, ne se privant pas pour mieux détailler son visage. Elle avait l’air jeune, plus que Juliette ne l’aurait espéré… Mais que cela ne tienne, elle n’avait pas l’air si jeune non plus.

Et elle était magnifique, on ne pouvait pas le nier. Et l’air tellement vulnérable… Juliette irait surement en enfers pour ça, et pour bien d’autre chose, mais elle adorait ça… Après un sourire et un regard échangé, Juliette ne se priva pas pour prendre la jeune femme par le bras, sans vraiment lui laisser d’autre choix que de la suivre vers la piste de danse. Juliette tourna la tête vers elle avec un sourire radieux.

« Vous m’accordez cette danse ? »

Après tout, elles étaient à un bal ! Elles étaient là pour ça, et qu’est ce que Juliette avait à perdre ? Au pire, elle partirait en courant, au mieux...Elle avait tout à y gagner. Et puis, ce n’était qu’une danse, ça n’engageait à rien. Juliette posa une main sur la fine taille de la jeune femme, lui prenant la main de l’autre, attendant impatiemment sa réaction...